dimanche 6 octobre 2013

Mike Kelley - Centre pompidou





‘’Tout m'apparaît comme l’astre du convenable , le vivant rigidifé. Le désordre de Mike Kelley intègre cette dimension insaisissable qui colle et glisse à la fois entre nos doigts. Ce qui, une fois canalisé , tente de prendre une forme. Incertaine, étranglée.

La liberté m’émeut, l’admission de la part d’obscur, de visqueux. L’animalité, les fluides, l’inqualifiable. Non programmé.

Cet univers admis me donne envie de pleurer. Pour pleurer l’inhibition, la honte, toute ma contenance. Arreter la justification, le rejet de mon intégrité, hors norme. Hors frontière.
Deverser le contenu.

Ces oeuvres sont des fenêtres sur l’absurdité qui m’assaille.’’



Bien en peine d’arriver à tirer autre chose que de l’émotionnel

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire